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EXPOSITION 

Shan shui : La nature à travers le pinceau

Shan shui : La nature à travers le pinceau et l’encre de Chine

Art ancestral et art de vivre au-delà de la dimension artistique, la peinture chinoise entremêle depuis des décennies la nature et le pinceau.  

A travers plus d’une vingtaine d’œuvres, l’Institut Confucius de l’Université de Lorraine vous invite à une réflexion poétique sur la nature qui nous entoure dessinée par l’artiste Tan Jian Chung. 

PRESENTATION DE L’EXPOSITION

De par ses tableaux, l’artiste Tan Jian Chung cherche à retranscrire les liens complexes qui lient l’Homme à la nature en maîtrisant techniques habiles de peinture chinoise, réflexion des couleurs, et harmonie entre la beauté de l’encre de Chine et inspiration de l’art occidental.

Trois sujets se répondent autour d’un thème commun : l’écologie.

Montagne et eau

Montagne et eau, éléments essentiels dans la conception du jardin chinois, occupent une place importante dans la peinture chinoise.   Une entente harmonieuse entre les deux éléments se dégage sous le pinceau de l’artiste Tan Jian Chung.

Symbolique des plantes

Dans la culture chinoise, chaque plante, chaque arbre, chaque fleur a une signification. Les œuvres exposées reflètent entre autres la sagesse du pin, la force et l’éthique du bambou, la prospérité de la pivoine, la pureté de la fleur de lotus ou encore la ténacité du prunier.

Ying et Yang, toute une harmonie poétique

La nature nous surprend souvent par sa dualité. Elle peut être si forte et fragile à la fois, faire preuve de douceur tout en restant ferme. Par son procédé créatif, l’artiste Tan Jian Chung porte à l’œil du public cette opposition, en manipulant chaque coup de pinceau pour mettre à nue cette complexité.

L’ARTISTE TAN JIAN CHUNG

Fidèle à l’art de la peinture chinoise, ses œuvres apportent une liberté dans la technique de manipulation du pinceau. Il y introduit formes exagérées et inattendues s’exprimant essentiellement par la peinture à l’encre de chine. Sur le plan pictural, il rompt avec les styles traditionnels de forme d’expression, en quête d’un langage artistique plus personnel, mélange subtil entre le figuratif et l’abstraction.

Diplômé à l’Université des arts à Taïwan, Tan Jian Chung effectue un cursus riche à l’École supérieure des arts décoratifs de Strasbourg et obtient un doctorat en Arts à l’Université de Lorraine. Il participe à plusieurs expositions internationales dont par exemple la « Camaver Kunsthaus » de Florence ou encore le 19ème Salon Internationale « Esart Galeria » à Barcelone ; et plus de ses expositions personnelles partout en France.

L’INSTITUT CONFUCIUS DE L’UNIVERSITE DE LORRAINE

L’Institut Confucius de l’Université de Lorraine est une structure universitaire de coopération franco-chinoise (avec la WHUT et le HANBAN).  Elle se situe à la Bibliothèque universitaire du Saulcy.

Ayant la volonté de faire découvrir au public la culture et la langue chinoises à travers ses activités diverses,  l’Institut Confucius se veut être un lieu de partages et d’échanges transculturels; il souhaite apporter sa contribution au tissage des liens entre deux cultures.

Adresse :

Institut Confucius de l’Université de Lorraine,

Bibliothèque Universitaire du Saulcy, 1er étage

Horaires :

Lundi de 09h00 à 19h00
Du mardi au jeudi de 09h00 à 17h00

Renseignements : 03.72.74.09.90

Entrée libre

Guerriers de l’éternité en images – Qin Yong

秦朝兵马俑图片展

Exposition de l’Armée des guerriers et des chevaux en terre cuite de Xi’an

L’Institut Confucius de l’Université de Lorraine vous invite à la rencontre de l’Armée en terre cuite de l’époque des Qin (221 av. JC).

 « 秦俑 Qin Yong» ou « armée en terre cuite de l’époque des Qin » désigne l’ensemble des statues en terre cuite enterré en tant qu’objets funéraires de Qin Shihuang, le premier empereur de Chine il y a plus de 2200 ans.

Découverte en 1976, cette « grande armée » protégeant le tombeau du premier Empereur chinois a surpris et enchanté autant les archéologues que le grand public par son immense envergure : plus de 8000 statues de soldats de taille humaine réparties dans 9 fosses entourant la nécropole impériale. Tous ces soldats sont disposés en ordre de bataille parfait, orientés vers l’ouest pour protéger le tombeau auquel ils tournent le dos.

De plus, chacun entre eux est habillé de sa propre armure représentant une variété de grades militaires et livre une expression de visage différente des autres, avec une finesse de traits témoignant la présence d’ethnies différentes.

Ce qui a étonné les chercheurs est le fait que ces figurines ne soient pas fabriquées de moyen intégral ; au contraire, elles sont assemblées en pièces précuites.

Lors de leur découverte, elles étaient encore colorées, ce qui les rendaient plus vivantes. Toutefois, faute de techniques de préservation, les couleurs ont disparues à cause de l’effet d’oxydation.

Les photos exposées dans cette salle nous permettent de faire un saut dans le temps et dans l’espace.  Elles sont réparties en 9 groupes :

  1. Arbalétrier agenouillé
  2. Armure en pierre
  3. Général
  4. Officier militaire cuirassé
  5. Conducteur de char de guerre
  6. Arbalétrier debout
  7. Guerrier assis aux jambes tendues
  8. Cavalier et son cheval
  9. Cheval d’argile

MANHUA : Histoire d’une famille chinoise

UN PALAIS AU VILLE – Planches originales

L’ouverture, c’était le mot-clé pour tous les chinois dans les années 80s du siècle dernier. Nous savons tous que la Chine en a bénéficié pour rattraper son retard et faire décoller son économie. Elle a joué  un rôle non-négligeable dans sa globalisation ; mais que ce que cette ouverture a apporté aux individus chinois ?

L’Institut-Confucius de l’Université de Lorraine vous invite à découvrir l’évolution d’une famille chinoise à travers les planches originales de l’ouvrage autobiographique de Minna YU, dessinatrice de BD.

Ayant complété une formation élaborée en peinture traditionnelle chinoise, Minna YU est arrivée en France pour suivre ses études en arts visuels en 2014. A travers des années de travail en tant qu’artiste de bandes dessinées, elle avait pour but de réunir dans sa création divers éléments d’expressions visuelles et verbales venant de cultures différentes : le Gongbi (le style de méticulosité dans la peinture chinoise), le manga japonais et l’art cinégraphique occidentale.

Les planches du «Palais au village » en sont témoins.

Ce qui rend l’ouvrage unique est que Minna a laissé de côté la narration à la chinoise, que les français auraient du mal à comprendre, pour s’inspirer des techniques cinématographiques, tels que les fondus d’ouverture et de fermeture, le montage et mashup, etc.

Découvrons comment l’ouverture de la Chine a changé la vie d’une petite famille chinoise à travers les planches originales de Minna !

L’INSTITUT CONFUCIUS DE L’UNIVERSITE DE LORRAINE

L’Institut Confucius de l’Université de Lorraine est une structure universitaire de coopération franco-chinoise (avec la WHUT et le HANBAN).  Elle se situe à la Bibliothèque universitaire du Saulcy.

Ayant la volonté de faire découvrir au public la culture et la langue chinoises à travers ses activités diverses,  l’Institut Confucius se veut être un lieu de partages et d’échanges transculturels; il souhaite apporter sa contribution au tissage des liens entre deux cultures.

Adresse :

Institut Confucius de l’Université de Lorraine,

Bibliothèque Universitaire du Saulcy, 1er étage

Horaires :

  • Lundi de 09h00 à 19h00
  • Du mardi au jeudi de 09h00 à 17h00

Renseignements : 03.72.74.09.90

Entrée libre